
Une large intersyndicale de l'enseignement (FSU, CFDT-EFRP, UNSA-éducation, FNEC-FP-FO, FERC-CGT, SNALC, SUD-éducation), les trois organisations lycéennes (VL, FIDL, MNL) et la FCPE dénoncent dans un communiqué commun le coût du "Service national universel" considéré comme "un gadget présidentiel déconnecté de la réalité". Nous dénonçons de plus "l'instrumentalisation de l'argument de la mixité sociale", la perte d'heures d'enseignement pour les élèves de seconde et le fait qu'ils relèvent à la fois de l'autorité de l’Éducation nationale et de l'Armée.
Nous revendiquons l'abandon de la généralisation du SNU et de son déploiement sur le temps scolaire et réclament le basculement de l'enveloppe budgétaire correspondante sur les budgets de l'Education nationale et de Jeunesse et Sports.




Revalorisation des milieux de carrière : le ministère abat ses cartes mais on est loin du carré d’as





