Après les grèves du 5 et 10 décembre, le Snep-Unsa attendait des annonces du Premier ministre pour d’une part sécuriser les enseignants sur le projet de réforme des retraites et d’autre part envisager de premières mesures concrètes de revalorisation.
Même si quelques garanties ont été apportées le 11 décembre, le Premier ministre n’a pas réussi à rompre la spirale de la défiance. De trop grandes zones d’ombre perdurent et des lignes rouges ont été franchies.