Ensemble associatif présent dans tous les départements. Il est animé par des personnels de l’éducation qui ont choisi de s’impliquer auprès de collègues confrontés à des difficultés
Avantages sociaux (type comité d'entreprise) :
Les pensions complémentaires des ex-salariés du privé seront revalorisées de 1,6 % à compter du 1er novembre, soit 0,2 point de moins que l’inflation prévue par l’Insee pour 2024 (1,8 %), a annoncé, mardi 15 octobre, l’Agirc-Arrco.
Cette hausse concerne aussi les ex-enseignants des classes et établissements associés à l'enseignement public par un contrat avec l’État recrutés avant 2017 à la retraite.
Cette hausse concerne aussi les ex-enseignants des classes et établissements sous contrat simple déjà en retraite. Ces salariés des IME et ITEP privés même rémunéré durant leur carrière par l’État sont des salariés de l'association de gestion.
Cette revalorisation équivaut à une hausse de 13 euros par mois en moyenne, pour une pension complémentaire de 800 euros. Elle coûtera 1,6 milliard d’euros en année pleine à l’Agirc-Arrco. Les réserves de l’Agirc-Arrco atteignent aujourd’hui environ 80 milliards d’euros soit au delà des besoins pour assurer sur 6 mois le versement des compléments de pension.
Pour 2024, le gouvernement et le patronat ont obtenu cette moindre revalorisation, inférieure à l'inflation.
La CFDT majoritaire au conseil d'administration dit être satisfaite.
En 2023, l’Agirc-Arrco avait versé 92,4 milliards d’euros à ses 14 millions de pensionnés, soit 5,9 milliards de plus qu’en 2022. Les pensions avaient pu être revalorisées de 4,9 %, grâce à la situation financière solide du régime et aux nouvelles recettes apportées par la réforme des retraites. Pour 2024, le gouvernement et le patronat ont obtenu cette moindre revalorisation, inférieure à l'inflation.
Avis du Snep UNSA :
Au regard de la solidité du régime, conforté par les dernières réformes qui apportent un surcroit de recette, pour nous, les effets de l'inflation devraient être pleinement pris en compte. Ce n'est pas la vision défendue par les organisations patronale et la Cfdt.
Décision n° 2013-322 QPC du 14 juin 2013
Considérant que les maîtres des établissements d'enseignement privés sous contrat ne sont pas dans une situation identique à celle des autres personnels privés employés par ces établissements au regard de leur relation avec l'État et l'accomplissement de la mission de service public de l'enseignement