Ensemble associatif présent dans tous les départements. Il est animé par des personnels de l’éducation qui ont choisi de s’impliquer auprès de collègues confrontés à des difficultés
Avantages sociaux (type comité d'entreprise) :
En voie générale, les élèves auront le choix entre deux objets d’étude. Cela signifie donc qu’il y aura 6 sujets de dissertations (pour que chaque élève puisse choisir l’œuvre étudiée dans chacun des deux objets d’étude proposés) et deux commentaires (un par objet d’étude).
En voie technologique, il y aura deux sujets de contraction-essai au choix. Malgré notre intervention, le Ministère n’a pas souhaité revenir sur cet aménagement inutile. Il y aura également deux commentaires portant sur deux objets d’étude différents.
Pöur les épreuves anticipées écrites de francais, l' UNSA a demandé que les copies soient triées par objet d’étude dans les centres d’examens pour éviter la multiplication des sujets différents dans les paquets de copies et ainsi limiter la charge de travail des correcteurs.
Le Ministère a indiqué ne pas avoir trouvé de solution pour que les copies soient triées ainsi dans les établissements ou centres d’examens, avant numérisation.
Il peut donc y avoir jusqu’à 8 sujets différents dans un paquet de voie générale et 4 sujets différents dans un paquet de voie technologique
Pour les épreuves anticipées de francais (EAF), 14 textes sont attendus en voie générale et 7 en voie technologique.
L'UNSA a été à l’initiative d’une intersyndicale dès le mois de mars pour exiger des aménagements conséquents pour l’épreuve écrit comme l’épreuve orale.
Le Ministère s’est engagé à demander aux divisions des examens et concours que des consignes soient transmises aux chefs d’établissement afin que les professeurs de Lettres soient dégagés de surveillance.
En cas de convocation de double convocation surveillance/examens, rappelez à votre directeur cette consigne ministérielle
Elles sont très différentes d’une académie à l’autre.
On peut interroger les élèves dans leur établissement ou dans des centres d’examen. Certaines académies ont des coordonnateur.trice.s qui assurent le passage des élèves en tiers-temps, prennent le relais lors des pauses, aident à la saisie des notes. D’autres académies n’ont aucun dispositif de ce genre.
Le nombre de candidats par jour est généralement entre 15 et 16.
Certaines académies ont indiqué que les candidats devraient préparer dans une salle distincte de la salle d’interrogation. En effet, comme c’est l’élève qui choisit l’œuvre présentée dans la seconde partie et que celle-ci peut être issue du programme national, la probabilité que deux élèves passant successivement aient fait le choix de la même œuvre n’est pas faible.
Le nombre de jours de convocation varie selon les académies.
Il n’existe pas de règle uniforme pour toutes les académies. Chaque DEC (division des examens et concours) ou le SIEC s’organise comme il l’entend.
Dans certaines académies, les professeurs de Lettres ne seront convoqués que pour l’écrit ou que pour l’oral. Dans certains cas, c’est une pratique habituelle en temps normal ; dans d’autres, c’est dans la volonté d’éviter une surcharge de travail.
Ce n’est pas forcément une réussite quand l’assiette des professeurs convoqués n’est pas élargie puisque la conséquence est alors des copies ou des candidat.e.s en très grand nombre.
Dans certaines académies les convocations se feront pour l’écrit et à l’oral.
Le Snes-UNSA demande que les professeurs de lettres soient convoqués pour un seul examen (pas de cumul grand oral/EAF/BTS).
Suite aux interventions de l'UNSA, les divisions des examens et concours ont reçu des consignes pour éviter au maximum les sur-convocations des professeurs de Lettres.
Il n’est toutefois pas possible d’avoir des garanties sur ce point dans toutes les académies.
C’est l’usage de certaines académies en temps normal.
Il est possible que cette pratique soit étendue cette année pour augmenter le vivier de correcteurs et examinateurs.
Dans ce cas, devraient être privilégiés des collègues ayant une expérience du lycée.
Les informations sur le protocole sanitaire exigées par l'UNSA arrivent au compte-goutte.
En l’état actuel de nos informations :
L'UNSA continue d’intervenir à tous les niveaux pour que la sécurité sanitaire des examinateurs et des élèves soit assurée.
Les copies seront numérisées mais il sera possible de demander l’impression de pdf pour corriger des copies papier.
La généralisation de la dématérialisation des copies pour les épreuves du baccalauréat est un non sens qui pose de nombreux problèmes : heures passées sur un écran, perte de sens de la correction car la comparaison des copies est rendue difficile. Tout un savoir faire lié à l’évaluation des copies est brutalement remis en question.
L'UNSA exige la possibilité pour les correcteurs qui le demandent de corriger des copies papiers et non pas des copies numérisées.
Le ministère nous a informé que les correcteurs pourraient disposer des impressions des copies scannées afin de les corriger sur papier. C’est un premier pas, mais qui doit encore être confirmé : ces impressions doivent être lisibles et se faire dans les centres d’examen, il est n’est pas question que les correcteurs les impriment chez eux !
Et en définitive, imprimer des copies qui étaient au format papier au départ et qui ont été scannées ...
le plus simple est de donner accès directement aux copies papier aux correcteurs comme l'UNSA le demande.
Oui, tous les collègues peuvent être convoqués aux jurys d’examens.
Le jury du Grand Oral est composé de deux professeurs dont l’un dans la discipline d’une des spécialités du candidat. Vous pouvez aussi être convoqué au titre du second membre du jury, quelle que soit votre discipline.
Oui, et ce n’est pas le 4e sujet qui suffira à éviter le problème (un programme de 17 notions pour la voie générale, sera au mieux traité « à moitié » suite au passage en 1/2 jauge en novembre, que ce « à moitié » signifie 9 notions croisées entre-elles ou qu’il signifie 17 notions « à moitié » croisées.
En effet, il s’agit d’un programme dont les éléments ne sont pas isolables et interagissent les uns avec les autres). Sans parler de l’entraînement à l’écrit (bac blanc ou DS annulés…) très incomplet.
Oui, mais à la marge à l’écrit. Un sujet de dissertation supplémentaire viendra s’ajouter aux 3 sujets habituels, tant dans la voie générale que dans la voie technologique (le candidat aura donc le choix entre 3 dissertations et une explication de texte).
Pour l’oral de rattrapage, en réponse à notre demande, une note de service en cours de publication autorisera, faute d’avoir la possibilité de présenter une œuvre intégrale, soit d’indiquer les passages de l’œuvre étudiés en classe, soit de remplacer la lecture suivie par une liste de 10 à 12 textes courts étudiés pendant l’année, sur le modèle de la voie technologique.
Le Snes-UNSA est intervenu dès le mois de janvier pour pointer les conditions très particulières de cette session au cœur d’une année sous Covid.
par exemple lire ICI
Non, suite au CSE du 27 mai, la règle en cas d’absence d’un candidat a été modifiée. Le candidat bénéficiera de la meilleure des deux notes entre l’épreuve finale et la moyenne de contrôle continu. S’il est absent avec un motif valable, il pourra demander le bénéfice du contrôle continu en lieu et place de l’épreuve de remplacement de septembre.
En cas d’absence injustifiée, il ne sera pas possible de bénéficier de cette possibilité car la note de 0 s’appliquera.
Il n’en reste pas moins que la solution retenue par le ministère, à savoir retenir la meilleure note entre le contrôle continu et l’épreuve terminale est un nouveau signe de mépris pour les professeurs de philosophie. Elle revient à engager les correcteurs dans un travail, lourd, qui, dans beaucoup de cas, n’aura aucune utilité.
Non, mais suite à nos interventions à tous les niveaux pour pointer la charge de travail des correcteurs de philosophie, les services des examens (SIEC en IDF, DEC en académies) nous assurent d’une diminution du nombre de copies au prorata des journées de jury.
Seuls les professeurs enseignant la spécialité HLP en terminale, ont néanmoins vocation à être de jury de Grand Oral, du moins en tant qu’examinateur expert de la spécialité à laquelle est adossée la question du Grand Oral (expertise censée permettre d’interroger le candidat sur toutes les parties du programme de terminale en lien avec sa question).
Le nombre limité de correcteurs pour l’épreuve de philosophie devrait donc les dispenser d’être de jury de Grand Oral au titre de l’examinateur non-expert (le jury étant composé de deux membres, dont un seul enseigne la spécialité).
Oui, mais à la marge à l’écrit. Un sujet de dissertation supplémentaire viendra s’ajouter aux 3 sujets habituels, tant dans la voie générale que dans la voie technologique (le candidat aura donc le choix entre 3 dissertations et une explication de texte).
Pour l’oral de rattrapage, en réponse à notre demande, une note de service en cours de publication autorisera, faute d’avoir la possibilité de présenter une œuvre intégrale, soit d’indiquer les passages de l’œuvre étudiés en classe, soit de remplacer la lecture suivie par une liste de 10 à 12 textes courts étudiés pendant l’année, sur le modèle de la voie technologique.
Décision n° 2013-322 QPC du 14 juin 2013
Considérant que les maîtres des établissements d'enseignement privés sous contrat ne sont pas dans une situation identique à celle des autres personnels privés employés par ces établissements au regard de leur relation avec l'État et l'accomplissement de la mission de service public de l'enseignement