La reprise à marche forcée envisagée pour les écoles maternelles et élémentaires est à la fois inacceptable et impossible à mettre en œuvre dans les délais prévus et dans un cadre sanitaire totalement flou. A fortiori dans les départements classés "rouges" tels que décrit par le premier ministre devant l'assemblée nationale le 28 avril. (voir note ci-dessous).