La plus haute juridiction était amenée par nos soins à se pencher sur les pratiques occultes des organisations de l'enseignement catholique au sujet des demandes de mutations.
Son jugement n'est pas une surprise dans la mesure où il reprend une jurisprudence établie petit à petit avec le temps. La Cour d'Appel de Paris, plus haute juridiction de première instance, s'était déjà prononcée dans ce sens quelque temps auparavant.